En cette Journée nationale de la vérité et de la réconciliation, nous réfléchissons aux vérités du passé, à une histoire entachée d'injustices subies par les peuples autochtones, et nous nous tournons vers la guérison, la compréhension et l'établissement de relations plus solides.
La GRC a reconnu son rôle dans les injustices subies, ainsi que la blessure et la méfiance qui en résultent. Cette compréhension cruciale du passé guide nos pas sur le chemin de la réconciliation et notre engagement à construire et à maintenir des relations fortes et positives avec les communautés autochtones, aujourd'hui et pour les générations à venir.
Par définition, la réconciliation est un parcours de compréhension, d'acceptation et d'unité. Elle représente un effort pour combler les fossés, réparer les relations et favoriser un environnement de respect et de compréhension mutuels, ce qui a pour effet de renforcer tout le monde.
Nous avons la responsabilité collective de reconnaître notre passé, d'en tirer les leçons et d'aller de l'avant avec un sens plus profond de la parenté.
La Journée nationale de la vérité et de la réconciliation nous rappelle que l'histoire de la GRC est une histoire dont nous devons tirer les leçons pour que notre avenir soit fait d'unité et d'aspirations communes.
Je suis encouragé par certaines des mesures que nous avons prises jusqu'à présent en tant qu'organisation, comme l'investissement dans la formation et l'éducation pour favoriser la compréhension culturelle et l'empathie, l'engagement avec les dirigeants autochtones pour établir des liens de confiance et de collaboration, et l'examen de nos politiques de recrutement pour commencer à assurer un accès équitable à la GRC.
Je continuerai à défendre le travail de réconciliation au niveau national et au sein de notre Division.