L'approche intensive de la GRC en Nouvelle-Écosse à l'égard de l'enquête sur la disparition de Lilly et Jack Sullivan se poursuit.
Plus de 11 groupes de la GRC en Nouvelle-Écosse travaillent sur l'enquête, notamment le Groupe des crimes majeurs de la GRC en Nouvelle-Écosse, la GRC dans le District du comté de Pictou, les Services d'identité judiciaire, le Groupe des contrôles de sincérité, l'Équipe de soutien des demandes d'autorisation judiciaire, la Section des chiens policiers, l'Équipe de récupération sous-marine, le Groupe des sciences du comportement, et le Service d'analyse criminelle.
Ils sont accompagnés dans leurs efforts d'enquête par le Centre national pour les personnes disparues, le Centre canadien de protection de l'enfance, ainsi que les forces policières provinciales et municipales de la Nouvelle-Écosse et d'ailleurs au Canada.
« L'enquête est menée par un groupe d'enquêteurs tenaces et dévoués qui recueillent et évaluent quotidiennement des renseignements pour en savoir plus sur les circonstances de la disparition de Lilly et Jack afin que nous puissions les retrouver », explique le s. é.-m. Rob McCamon, officier responsable (par intérim) des Crimes majeurs et des Sciences du comportement. « Tous les scénarios sont à l'étude, et nous avons mobilisé tous les outils et ressources à notre disposition. »
La GRC en Nouvelle-Écosse tient à remercier le public pour tous les renseignements et les séquences vidéo qui ont été fournis depuis la disparition de Lilly et Jack.
Grâce à ce soutien, les enquêteurs ont :
• recueilli des centaines d'heures de séquences vidéo dans les environs de Lansdowne Station, y compris des séquences prises le long du chemin Gairloch entre 12 h le 28 avril et 12 h le 2 mai, à la suite d'un appel au public lancé par l'équipe d'enquête le 28 mai;
• interrogé officiellement 54 personnes, et fait passer un polygraphe à certaines des personnes interrogées;
• reçu 488 renseignements, dont beaucoup ont fait l'objet d'une évaluation et d'un suivi;
• effectué des fouilles approfondies sur la propriété d'où les enfants ont disparu, y compris tous les aspects du domicile, des terrains, des dépendances et des fosses septiques, des puits, des puits de mine et des ponceaux à proximité.
• obtenu de nombreuses autorisations judiciaires pour saisir et examiner du matériel et des dispositifs qui pourraient fournir des renseignements utiles à l'enquête.
« Nous recueillons, évaluons et analysons un volume important de renseignements provenant de sources diverses. Nous avons une approche très coordonnée et délibérée pour nous assurer que tous les renseignements sont méticuleusement examinés, classés par ordre de priorité et pris en compte afin de ne rien manquer », explique le caporal Sandy Matharu, enquêteur principal, Groupe des crimes majeurs du Nord-Est de la Nouvelle-Écosse. « Nous nous engageons à faire le nécessaire pour trouver Lilly et Jack et faire avancer l'enquête, ce qui pourrait prendre plus de temps que nous l'espérions tous. »
L'information recueillie jusqu'à présent dans le cadre de l'enquête, y compris les efforts de recherche et de sauvetage au sol, n'a pas mené à de nouvelles zones de recherche.
On demande à toute personne qui sait où pourraient se trouver Lilly et Jack de communiquer avec le Groupe des crimes majeurs du Nord-Est de la Nouvelle-Écosse de la GRC au 902-896-5060. Pour conserver l'anonymat, communiquez avec Échec au crime N.-É. en composant le 1‑800‑222‑8477, en allant dans son site Web à www.crimestoppers.ns.ca ou en utilisant l'application mobile « P3 Tips ».
Dossier : 2025-583775